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Plus que jamais, nous avons besoin de votre aide pour soutenir les enfants de l’Ile aux Nattes afin qu’ils puissent accéder à l’éducation et ainsi découvrir le monde qui les entoure.
En faisant un don à notre association, vous pouvez donner un sens à vos impôts et bénéficier d’une déduction fiscale à hauteur de 66%. Nous comptons sur votre générosité. Merci !
Cette année, grâce à Nirina, le directeur du Collège du Rocher, les enfants ont pu bénéficier de la distribution du médicament contre le vers solitaire.
Pour la santé des enfants, le Ministère de la Santé et de l’Éducation Nationale a lancé cette opération ponctuelle offrant des médicaments aux enfants isolés de la Grande Ile mais aussi de l’Ile Sainte-Marie. Nirina a trouvé un accord avec le Centre de Santé de Base (CSB) pour que le Collège puisse bénéficier des distributions de médicaments chaque fois qu’elles ont lieu.
Ce type d’initiative est très important à Madagascar où le problème des parasites est récurrent auprès de la population. La simple prise du médicament nécessite une organisation que notre Collège a assuré de la préparation de l’eau à la prise du traitement.
Le 25 mars marque l’entrée des élèves dans le tournoi Esprit Beach Rugby Océan Indien organisé par Henri Claude du 974 Action Réunion.
Ce tournoi réunit de nombreux établissements scolaires de la région, dont le Collège du Rocher, puisque Nirina figure parmi les organisateurs. Ce fut également l’occasion pour les autres écoles de découvrir notre Collège, qu’ils ont visité.
Déjà bien engagés dans la compétition, nos élèves ont participé aux étapes de Sainte-Marie en mars, puis Tamatave en avril. Lors de cette dernière étape, deux élèves se sont qualifiés pour la finale qui se déroulera le 25 mai à la Réunion.
Cet évènement apporte une crédibilité au rugby à Sainte-Marie, qui tente déjà de se faire une place dans la région. Le Collège du Rocher est très impliqué dans cet effort. Cette impulsion se présente en bonne voie et nous rend optimiste pour l’avenir du rugby scolaire à Madagascar.
Madagascar a été frappé par des cyclones dont Batsirai dans la nuit de samedi 5 à dimanche 6 février. Ce cyclone a été particulièrement violent et la semaine dernière, nous avons dû fermer l’établissement en raison de la tempête.
Cet évènement a été source d’inquiétude pour tous et nous sommes heureux de vous annoncer que les enfants et le Collège vont bien. L’école devrait rouvrir une fois les intempéries calmées et les travaux de la toiture pourront reprendre.
Grâce à vos dons, nous avons pu débuter les réparations de la toiture. Les matériaux ont été récupérés, le projet a pu commencer avant l’interruption dû aux cyclones.
Pour rappel, la toiture est devenue un problème depuis 2020 mais la crise sanitaire ne nous a pas permis de faire commencer les travaux plus tôt. Notre mission est de garder cet endroit en parfaite sécurité pour les enfants et leurs professeurs.
Le contexte météorologique nous rappelle encore l’importance de cette démarche, alors un grand merci à vous pour votre générosité.
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Afin de rester dans une optique de respect et de protection de l’environnement, d’un avenir plus écologique et dans la continuité du potager, l’association Les Papillons du Ciel et son partenaire-fondateur, la Maison Eden Park, ont mis en place une activité composte.
L’objectif de celle-ci est de permettre aux élèves de d’assimiler les bienfaits du compost, que ce soit au niveau pratique dans leur vie quotidienne et surtout environnementale. Il va leur permettre également d'apprendre ce qu’il faut et ne faut pas mettre au compost, ainsi que les risques de jeter des déchets par terre.
Dans un monde où l’environnement devient une préoccupation importante et l’écologie une valeur prioritaire, l’association « les Papillons du Ciel » et son partenaire-fondateur la Maison Eden Park, ont décidé d’organiser au collège du Rocher une journée « développement durable »
Cette journée a pour objectif de sensibiliser les collégiens aux dangers du changement climatique et à l’impact de la pollution sur l’environnement.
Une journée rendue possible, grâce à l’intervention de l’association Cétamada qui étudie la population de mammifères et sensibilise à la préservation de la biodiversité.
Le but recherché de cette journée est que les collégiens puissent agir en faveur de leur environnement et réduire les risques causés par la dégradation de l'environnement sur la faune et la flore de l’île aux Nattes.
Une collecte de déchets par les élèves sera organisée sur les plages de l’île avec une formation au tri et l'apprentissage du recyclage.
L’association « Les Papillons du Ciel » continue de se développer. Nous avons, depuis sa création, le soutien indéfectible de la Maison Eden Park et nous remercions toutes les entreprises et les particuliers qui permettent, chaque jour, la réalisation de nos actions grâce à leurs donations.
Le restaurant Fourchette et Sable Blanc à Saint-Pierre du Mont propose une initiative sympathique en vendant les broches de petits nœuds papillon à leurs clients.
L’argent récupéré va permettre d’offrir des repas aux enfants du Collège du Rocher sur l’île aux Nattes. Nous remercions Patricia et toute son équipe de nous accompagner dans cette aventure.
L’éducation par le sport est l’une des valeurs fondamentales de notre association. Le mois de novembre a été placé sous le signe du rugby, pour les élèves du collège du Rocher, avec la pratique d’ateliers ludiques et sportifs. Chaque semaine, nous envoyons à l’école différents types d’ateliers afin que les élèves puissent apprendre et comprendre les règles. Le but est de transmette les valeurs de ce sport, qui nous est cher par Franck Mesnel, le fondateur, et par Eden Park, la marque qui soutient cette association depuis sa création. Il peut s’agir d’un exercice de défense, de passe, d’attaque ou bien un autre pour travailler son endurance ou le physique.
L’objectif est de pouvoir compléter et valoriser l’éducation transmise par la famille et l’école, par les valeurs du rugby : la rigueur, l’effort, le courage individuel et collectif.
- Comment s’est déroulé votre voyage jusqu’à l’île aux Nattes ?
"Mon voyage à l’île aux Nattes s’est très bien déroulé. Après 11 heures de vol pour arriver à Antananarivo, nous sommes allés nous reposer, quelques heures, au Relais des Plateaux. Puis départ très tôt le matin, on découvre une île car nous sommes arrivés la nuit et là, on voit des forêts immenses. C’est complètement dépaysant pour moi qui arrive de Paris, on atterrit dans un endroit inédit, simple mais époustouflant de beauté. Puis, nous sommes surpris car il y a une piste d’atterrissage. On découvre l’Océan Indien, les cocotiers, les habitants qui sont prompts à porter vos bagages et vous faire visiter leur île. Il fait beau, il y a du soleil et nous sommes heureux d’être là."
- Quelle a été la première chose que vous ayez faite en arrivant au Collège ?
"J’ai directement sorti mon téléphone et surtout mon appareil photo pour commencer à immortaliser ce voyage. Il y a une telle luminosité que c’est vraiment agréable à voir, surtout lorsqu’on vient de Paris."
- Qu'avez-vous ressenti lors de votre arrivée au Collège du Rocher ?
"C’est un petit peu partagé parce qu’on voit que c’est très pauvre mais en même temps, ça recadre car c’est naturel, simple et il y a moins de choses sur faites. Ça fait du bien !"
- Étiez-vous satisfait de ce que vous avez vu sur place ? (cadre, infrastructure, ambiance)
"C’est exceptionnel, c’est une île où il n’y a rien, puis apparaît cette structure, qui représente le Collège, qui n’est pas la seule mais vraiment la plus importante de l’île. Elle accueille un certain nombre d’enfants."
- Comment pourriez-vous décrire votre premier contact avec les élèves et l'équipe pédagogique ?
"Je crois que nous étions beaucoup plus timides qu’eux, on arrive chez eux c’est toujours un peu compliqué. Ils ne nous connaissent pas, ils se méfient de nous ce qui est normal. Puis nous, nous n’avons pas les codes pour qu’ils viennent vers nous. Cependant, ce ne fut que le temps de quelques jours, nous avons été vite adopté. Il y a avait une petite réticence parce qu’on avait des caméras après, ils sont venus vers nous facilement."
- Quel a été votre meilleur moment ?
"J’en ai beaucoup. Je me rappelle d’un spectacle de l’Alliance Française, les gamins étaient heureux, ils rigolaient. C’était un moment exceptionnel, franchement j’ai vu pleins d’enfants heureux et c’était très agréable."
- Quel projet avez-vous mis en place durant votre séjour ?
"Ce n’était pas réellement un projet. Nous étions partis, avec une collègue, sur une idée de reportage pour montrer ce que font les enfants, la beauté de l’île et puis l’environnement dans lequel ils vivent. Nous avions besoin de faire beaucoup d’images. Personnellement, j’avais emmené des appareils photo, je les ai laissés pour qu’ils nous envoient des photos mais je pense que c’était un peu compliqué car ils n’ont pas de bonne connexion internet ou qu’ils n’en voient pas le même besoin que nous."
- Aimeriez-vous repartir vivre une telle expérience ?
"Évidemment, parce que ça fait du bien, comme on dit ça « remet l’église au milieu du village » ! Et puis on voit des enfants qui sont beaucoup moins chanceux que les enfants d’ici mais ils ont le sourire, ils ont envie de vivre, de faire des choses. Nous, ça nous motive."
- Quel sentiment gardez-vous de ce voyage ? Avec du recul l’auriez-vous vécu différemment ?
"En fait, j’ai adoré, ça m’a fait du bien. Quand j’ai le blues, parfois j’y pense, et c’est chouette car j’ai rencontré des gens formidables qui ont eu envie de nous faire connaître leur île. Je pense que je n’aurai pas fait différemment car lorsque tu ne connais pas, il faut toujours s’adapter. Après, je pense que j’aurai proposé plus de choses, au début on est dans la découverte donc ce n’est pas simple. C’est un pays magnifique, ça donne toujours envie d’y aller pour voir comment ça évolue par rapport à la dernière fois. On a envie dans le même temps que ce soit immuable, qu’il n’y ait pas trop de modernité qui arrive chez eux pour venir les embêter. Cependant, c’est l’ordre des choses."
Pour récolter des fonds pour Les Papillons du Ciel, et sur la base d’un projet de recyclage de tissus de chemise, notre partenaire Eden Park fait réaliser des petits nœuds papillon par des mamans d’élèves du Collège du Rocher à Madagascar. Intemporel, cet accessoire illustre un savoir-faire artisanal et confère un caractère unique à chaque modèle. Cet accessoire est en vente dans nos boutiques et sur notre site internet au prix de 3 euros. Un euro est reversé aux Papillons du Ciel et permet à un enfant de déjeuner à la cantine trois fois par semaine. Les deux euros restants servent à la fabrication et au transport des petits nœuds papillon. Sur le même principe que nos noeuds papillons, nous avons aussi fait fabriquer des chouchous, prochainement sur le site Eden Park et dans leurs boutiques.
Les Papillons du Ciel s'engage à suivre régulièrement les élèves dans leur parcours scolaire et apporter un soutien lorsque cela s'avère nécessaire : suivi trimestriel des notes, des activités faites en cours, des sorties scolaires. Dernièrement, nous avons créé un carnet de liaison qui sera rempli par nos soins et conservé au Collège du Rocher. Il retracera le parcours scolaire des enfants de la classe de 6ème jusqu'à la classe de 3ème. Un exemplaire sera remis à l'élève à la fin de ses 4 années scolaires au Collège, et un autre restera au sein de l'école.
Pour plus de renseignements, n'hésitez pas à vous rendre sur leur site internet :
Dans le but de continuer à aider ces élèves, nous avons réalisé une série de témoignages auprès de certains de nos bénévoles qui ont eu l'occasion de partir sur l'Île aux Nattes.
-Quel a été votre ressenti lors de votre arrivée au collège du Rocher ?
"Lors de mon arrivée, le collège était en construction, j'était contente que l'école se construise et qu'un jour des gens puissent assister à des cours. J'y vais tous les ans à Magagascar donc je l'ai vu évoluer, j'étais ravie que des enfants sur l'Iles aux Nattes accèdent à l'éducation. "
- Quel accueil avez-vous reçu en arrivant sur place ?
" Tout à fait chaleureux, enthousiaste et impatient."
- Quelle a été la première chose que vous ayez faites en arrivant au Collège ?
" J'étais la pour la construction donc j'ai aidé à trouver des meubles, appelé des écoles, des gens ont donné de l'argent pour ça, j'ai regardé si tout fonctionnait bien, au début je me suis pas occupée de l'éducation mais du fonctionnement. Voir si tout dans l'école pouvait fonctionner par rapport à tout ce qu'on a pu livrer : les ordinateurs, les livres, les meubles "
- Qu'est-ce qu'il y a le plus retenue votre attention ?
" L'envie des enfants d'apprendre. Le fait que cette école existe, qu'elle apporte de l'éducation aussi à manger ce qui est important dans un pays aussi pauvre, je pense que le fait d'avoir proposé cette école est une chose qui a changé la vie des enfants sur cette îles"
- Quel a été votre plus beau souvenir ?
"Mon plus beau souvenir là-bas, c'est qu'une fois je leur ai fait un petit gouter pour leur demander ce qu'il veut faire comme métier, au début le premier qui a parlé, tous le monde voulait faire pareil, au bout de 30min ils se sont lâchés et chacun s'est un exprimé même si leur timidité font qu'ils ont du mal à se lâcher. J'ai également assisté à un très beau moment c'est la remise des diplômes du 1er trimestre, comme un conseil de classe et chaque fois je leur achète un gouter et c'est le moment où ils font des danses, des spectacles et c'est toujours très sympa "
-Avec du recul l’auriez-vous vécu différemment ?
"Non, mais la seule chose qui faudrait peut-être faire c'est insister plus sur le français, améliorer tous les jours ce qui a été fait mais sinon non, on repartirait dans la même aventure"